After twenty-six-year-old Australian David Carpenter — a psychiatrist and neurological researcher himself — had a breakdown in his first year at Cambridge, his therapist told him, “Go into the Anglican Chaplaincy, investigate Christianity, and have a love-affair with a nice Christian girl.” He did precisely that.
Diana was only twenty. They grew so close that when, after four years, she married someone else, he returned home devastated. They did not meet again for eight years. He realised then that he still loved her, and she him. He asked her to break her marriage for him. Instead, she sent him away indefinitely.
In her last letter she begged him to give her up. She said that Oxford had rejected her dissertation. She was thirty-three, with her academic career now shattered. Vindication took 25 years.
This is the poignant true story of three hyper-intelligent, cosmopolitan, and highly-educated people fighting their way through to genuine faith, hope, and love in the modern world. It is about a real marriage and many assaults on it. Looking back, the author see herself as having been surrounded by love all her life.
She thinks of herself as a simple soul with a complicated mind.
Industry Reviews
Une Histoire Amoureuse Hors Du Commun
Une de mes amies et voisine anglaise de Grasse sur la C´te d'Azur o¹ j'habite, vient de m'offrir le livre de Diana Maryon. C'est avec le plus grand int©rªt que j'ai lu cette Å"uvre novatrice, ©tant moi-mªme l'auteur de nombreux romans historiques. C'est pourquoi je tiens en informer ceux qui liront cet article afin de les inciter l'acqu©rir. En effet, cet ouvrage pr©sente de nombreuses qualit©s, la premi¨re en ©tant son style ©l©gant, au sommet de ce que la langue anglaise peut offrir de meilleur, avec sa syntaxe et son vocabulaire recherch©. Son sujet d'autre part, est aussi in©dit qu'inattendu puisqu'il s'agit de l'©ternel trio amoureux, mais cette fois-ci avec la r©serve et la retenue des personnages qui les met au niveau de ceux de "La Princesse de Cl¨ves", l'Å"uvre ©ternelle de Madame de Lafayette. Si on y ajoute l'adroite et inattendue reproduction des lettres manuscrites que se sont ©crites les protagonistes, on rejoint l'©l©gant et tant soit peu artificiel proc©d© des auteurs fran§ais du XVIII° si¨cle, notamment dans "Les Liaisons Dangereuses", mais avec un fort parfum d'authenticit©. Enfin, la brillante ©tude de la psychologie des personnages m'a fait penser l'Å"uvre de Marcel Proust. Le plus inattendu, et ce sera peut-ªtre le b©mol que j' apporte ce commentaire, comme ©crivait Beaumarchais "sans la libert© de bl¢mer il n'y a pas d'©loge flatteur", c'est la pr©sence de la religion et de ses strictes contraintes morales, que l'on retrouve chaque page du texte, bien loin de la la¯cit© et de l'a-moralit© actuelles ... J'imagine travers ce qui est sans doute un pseudonyme, une brillante universitaire d©sireuse de s'affranchir d'une histoire amoureuse hors du commun, et avec laquelle je pourrais comme Honor© de Balzac, entreprendre une correspondance affective : je l'appellerais alors "l'Etrang¨re", comme il l'a fait avec Eve Hanska ... Peut-ªtre aura-t-elle l'envie de me donner son adresse ?
P-J L©vªque-Mingam docteur en histoire des Institutions, officier des Arts et Lettres